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Depuis le 19 juin 2022, j’ai l’honneur de représenter les habitants du Roannais à l’Assemblée nationale. Ce mandat m’honore, mais surtout il m’engage.
Deux boussoles guident mon action : la défense de nos intérêts à Paris et la proximité à vos côtés dans le Roannais.
Je suis fier de représenter aujourd’hui cette terre de France où je suis né, fier de représenter ce territoire à la fois rural et urbain, dont j’admire tous les jours un peu plus la beauté et le dynamisme.
L’objet de ce site est de vous présenter mon engagement et mes idées mais aussi de faire en sorte que nous puissions facilement entrer en contact.
À bientôt, à Paris ou dans le Roannais !
Actualité du 10/12/2024
Ce lundi 9 décembre, j’ai accueilli à Roanne Jérémie Boroy, président du Conseil National Consultatif des Personnes Handicapées (CNCPH). L’occasion d’échanger avec le Collectif Loire Handicap, avec les élus locaux et de visiter plusieurs infrastructures. À quelques mois des 20 ans de la grande loi de 2005, impulsée par Jacques Chirac pour «l'égalité des droits et des chances, la participation et la citoyenneté des personnes handicapées», il est crucial de faire le point. Malgré les principes fondamentaux d’accessibilité universelle et de droit à compensation inscrits dans ce texte, l’effectivité des droits des personnes en situation de handicap reste encore insuffisante. Les défis demeurent, qu'il s'agisse de l'accès à la scolarisation, à l'emploi, aux soins, à la participation sociale et citoyenne, ou encore à un accompagnement adapté. Rejoignez-nous pour échanger et faire avancer ces questions essentielles !
Actualité du 10/12/2024
"Je viens d’un pays, le territoire roannais, proche de la Saône et Loire, qui a offert à l’agriculture française l’une de ses plus belles fiertés : la vache charolaise. » À la tribune de l’Assemblée nationale, j’ai défendu l’élevage charolais roannais face au Mercosur. Alors que nos agriculteurs, partout en France exprime leur colère face à l’accord de libre-échange entre l’Union européenne et le Mercosur, j’ai exprimé au Premier ministre le souhait que le Parlement français puisse s’exprimer sur cette question cruciale pour l’avenir de l’agriculture et des 65 millions de consommateurs de notre pays. En votre nom, j’ai dit : NON : au MERCOSUR et à la viande aux hormones, à la concurrence déloyale et à la fin de l’élevage français
Actualité du 10/12/2024
Les mots me manquent pour vous décrire ce que j’ai vécu à Paris depuis lundi. Alors que notre pays s’enlise dans une crise globale, l’Assemblée nationale a décidé ce soir d’en rajouter en votant la censure. Cela n’était pas arrivé depuis 1962. Ce n’est ni anodin ni commun. C’est une décision historique. Je ne sais pas ce qui nous attend désormais. J’espère sincèrement le moins grave. Mais j’ai une certitude. Cela va de nouveau enrayer l’action de l’Etat pour la seconde fois cette année après la dissolution. Il faut bien comprendre que l’absence de budget comme l’absence de gouvernement ne peuvent permettre de résoudre nos problèmes. Comment soutenir nos agriculteurs, rétablir l’ordre, répondre aux fermetures d’usine, trouver plus de médecins, apporter de la stabilité à nos entreprises sans budget et sans gouvernement ? Comment financer cela sans économies et sans efforts ? Pourquoi affaiblir encore davantage la France alors que la guerre est aux portes de l’Europe et que notre influence diminue chaque jour dans le Monde ? Oui, tout cela m’inquiète. Je tais la colère qui est en moi. Elle n’est jamais bonne conseillère et l’heure est trop grave pour critiquer ou juger les uns et les autres. Qu’on le soutienne ou non, Michel Barnier aura d’ailleurs montré ce soir ce qu’était la dignité d’un homme d’Etat. Il nous faut maintenant affronter l’avenir. Ce n’est pas simple car depuis la dissolution, la France n’a plus de majorité. C’est pourquoi, plus que jamais, je tiendrai mon engagement : toujours mettre l’intérêt de la France au dessus de tout. Pour débloquer le pays, il n’y a qu’une solution : travailler et réfléchir ensemble. Nous n’avons pas le choix, au moins jusqu’à la prochaine dissolution. Et pour cela, chacun doit arrêter de regarder le passé ou d’avoir les yeux rivés sur la prochaine présidentielle. Nous devons simplement regarder la France de 2024. Et rechercher collectivement des solutions pour vous, pour nous, pour nos enfants, pour l’avenir de la France. Oui, c’est fou, mais je crois encore (un peu) au sursaut. La France est trop belle pour être abandonnée aux forces du chaos.