Depuis que le Président de la République a choisi si soudainement de dissoudre l’Assemblée nationale, les colères, les tergiversations et les basses manœuvres politiciennes sont notre actualité et voilent nos espoirs pour notre territoire d’un brouillard d’insincérité et d’opportunisme. Face à cela, il nous faut prendre nos responsabilités.
À 45 ans, je travaille comme technicien voirie dans un bureau d’étude, et je vis à Charlieu, dont je suis l’adjoint au maire depuis 2010 et le conseiller départemental depuis 2015. Je suis aussi vice-président du Département de la Loire. Le sens de mon engagement, au fil de mes mandats, a toujours été celui du terrain et du quotidien. Ne jamais s’isoler, pour toujours vous écouter, comprendre et agir.
C’est pour cela que, le 30 juin, alors qu’il nous faut retourner aux urnes pour désigner notre futur représentant à l’Assemblée nationale, j’ai décidé non seulement de soutenir notre député Antoine Vermorel-Marques mais également d’accepter d’être son suppléant. Il est, depuis deux ans, le député des résultats pour le Roannais et pour notre pays. Avec lui, je partage l’exigence de retrouver un débat d’idées, démocratique. Comme lui, il nous faut des candidats qui proposent des solutions aux problèmes que vous rencontrez au quotidien. Comme lui, il nous faut des représentants qui sont à vos côtés, qui défendent vos intérêts, sans artifices et sans autre bénéfice que celui de vous servir et de construire le monde de demain. C’est ce à quoi Antoine s’est engagé, il y a deux ans quand vous lui avez fait confiance. C’est ce à quoi il s’est tenu.
Et c’est ce à quoi nous nous engageons de nouveau aujourd’hui !
Oui, j’affirme mes convictions de droite, ma confiance en l’ordre républicain juste. La valeur travail est aussi pour moi essentielle. Je la partage en ne l’abandonnant pas, au profit de mes mandats d’élu local. Elle doit être au centre de notre société. C’est son fruit qui permet de financer nos services publics dans les domaines de la santé, de l’instruction et de l’éducation, de la sécurité, de la justice, des solidarités...
Alors, en m’engageant aux côtés d’Antoine Vermorel-Marques, pour perpétuer l’exigence d’être les premiers défenseurs du Roannais, j’aurai plaisir à échanger avec vous pendant nos prochaines réunions publiques et tous les jours, sur le terrain !